Les banques britanniques partent du principe que la City représente environ 2,4% de l’économie de la nation et la perte de la position de Londres parmi les capitales financières prééminentes du monde se traduirait par un coût énorme.
Les banques affirment clairement que le resserrement des plafonds sur les bonus et l’augmentation des taxes qui pourraient être imposées par le gouvernement sont susceptibles de détourner les nouveaux investissements vers d’autres lieux dans le monde.
{{Le vrai problème est que le salaire des banquiers, même s’il est plafonné ou taxé, éclipse les revenus de millions de gens qui luttent chaque jour contre le chômage, les paiements d’emprunts hypothécaires et les coupes dans les services publics.
}}