Le retour du Royaume-Uni dans le programme Erasmus+ représente une étape positive et concrète dans la réinitialisation des relations entre l'Union européenne et le Royaume-Uni, avec des avantages tangibles pour les travailleurs, les jeunes et les apprentis des deux côtés.
La participation du Royaume-Uni au programme Erasmus+ profite aux travailleurs en élargissant l'accès à l'éducation, à la formation et aux opportunités de mobilité, y compris pour les apprenants et les apprentis de l'enseignement et de la formation professionnels (EFP).
Esther Lynch, secrétaire générale de la CES, a déclaré :
"Le retour du Royaume-Uni dans Erasmus+ est une bonne nouvelle pour les travailleurs, les étudiants et les apprentis de l'UE et du Royaume-Uni. Il soutient le développement des compétences, une formation de qualité et des opportunités de mobilité équitables, qui sont essentielles pour des marchés du travail forts et une prospérité partagée.
"Cette initiative tire parti de nos atouts : les pays voisins disposent d'une grande richesse de savoir-faire. De nouvelles possibilités d'acquérir des compétences et d'apprendre des autres travailleurs contribueront à renforcer la main-d'œuvre.
Paul Nowak, secrétaire général du TUC, a déclaré :
"Il s'agit d'un nouveau pas en avant pour réparer les dommages causés par l'accord de Brexit bâclé des Conservateurs, qui a fait reculer les travailleurs des deux côtés de la Manche.
"Le TUC et les syndicats européens réclament depuis longtemps des voies plus faciles et plus équitables pour que les gens puissent vivre, travailler et étudier dans les territoires des autres - avec des droits et des normes sauvegardés. Cet accord contribue à concrétiser cet appel.
"L'adhésion du Royaume-Uni à Erasmus+ offrira aux travailleurs, aux apprentis, aux écoliers et aux apprenants adultes britanniques de précieuses opportunités, notamment des voyages scolaires éducatifs, des formations professionnelles et des stages dans d'autres pays - des opportunités qui ont été gravement manquées au cours des dernières années.
"C'est une bonne chose pour les travailleurs qui en bénéficient et pour notre économie.
