La CES soutient le maintien du droit de séjour pour les citoyens de l’UE vivant et travaillant au Royaume-Uni et pour les citoyens britanniques vivant et travaillant dans le reste de l’UE
Déclaration adoptée au Comité Exécutif de la CES 26-27 octobre 2016
Les résultats du Sommet de Bratislava sont bien loin de répondre aux attentes de la Confédération européenne des syndicats (CES) et de celles exprimées dans la déclaration commune des syndicats et des organisations de la société civile « Une nouvelle Europe pour les citoyens, la planète et la prospérité pour tous » (https://www.etuc.org/fr/presse/une-nouvelle-europe-pour-les-citoyens-la-plan%C3%A8te-et-la-prosp%C3%A9rit%C3%A9-pour-tous#.V-vC2yRSFMg
La Confédération syndicale internationale (CSI) et la Confédération européenne des syndicats (CES) ont fermement condamné le coup d’État manqué survenu en Turquie et ont exprimé leurs condoléances aux familles des victimes. Les tentatives inconstitutionnelles – surtout lorsqu’elles impliquent des forces militaires – pour s’emparer du pouvoir et renverser la démocratie sont inacceptables. Nous exigeons que l’enquête et la poursuite des responsables soient menées dans le respect total du droit.
L’Union européenne et la Chine entretiennent une relation économique multidimensionnelle – les échanges commerciaux s’élèvent à 1 milliard d’euros par jour, nous négocions un accord d’investissement et nous attendons avec impatience de voir la Chine accéder à l’Accord général sur les marchés publics de l’Organisation mondiale du commerce (OMC).
Déclaration de la CES sur les prochaines étapes après le référendum au Royaume-Uni. Déclaration adoptée lors de la réunion extraordinaire du Comité de direction élargi, Londres 11 juillet 2016.
Adoptée au Comité exécutif extraordinaire, le 13 avril 2016 à la Haye
Vers le référendum au Royaume-Uni
L’Union européenne est confrontée à de graves défis et la CES préférerait voir le Royaume-Uni impliqué – avec d’autres États membres—dans la recherche de solutions plutôt de le voir opter pour l’isolement national.
Dans le contexte des négociations visant à établir une association birégionale entre le Marché commun du Sud (MERCOSUR) et l’Union européenne (UE), nous souhaitons faire la présente déclaration syndicale conjointe :
Bruxelles, 19 avril 2016
DÉCLARATION CONJOINTE DE LA CES ET DU CTC
AECG : où nous en sommes et ce qui doit changer
Lorsque, il y a quelques années, Canada et Europe se sont lancés dans la négociation d’un accord de libre-échange, les espoirs étaient grands de voir cet exercice aboutir à un nouvel « étalon », une nouvelle référence, dans ce domaine : un accord qui montrerait qu’il est possible d’approfondir les liens commerciaux tout en maintenant et en améliorant les normes sociales, de travail et environnementales.
Bruxelles, le 19 janvier 2016
Lettre de soutien de la CES à Philippe Martinez, Secrétaire général de l'organisation syndicale française CGT
Cher Philippe,
La CES est sérieusement inquiète de la décision rendue le 12 janvier dernier par le tribunal d’Amiens qui a condamné 8 anciens travailleurs de Goodyear à 24 mois prison, parmi lesquels 9 mois fermes. Cette décision est sans précédent. Elle punit très sévèrement des travailleurs qui ont lutté pendant près de 7 ans pour sauver leurs emplois sur leur territoire.
Nous, le mouvement syndical européen, sommes solidaires avec le peuple de France et les syndicats français à la suite des attaques meurtrières commises à Paris sur des gens innocents.
Nous, les syndicats de toute l’Europe, condamnons sans réserve ces meurtres barbares. Rien ne justifie que l’on assassine délibérément, et de sang-froid, des gens innocents, que l’on provoque des blessures et des traumatismes, ou que l’on inflige des souffrances à la famille et aux amis des victimes.
Adoptée par le Comité exécutif de la CES les 17 et 18 juin 2015
Le paquet « Mieux légiférer »[1] publié par la Commission européenne le 19/05/2015 est censé garantir une réglementation de l’UE qui soit meilleure, plus simple et moins contraignante.