Réagissant aux propositions de nouvelles règles en droit des sociétés* publiées aujourd’hui par la Commission européenne, le Secrétaire général adjoint de la Confédération européenne des syndicats (CES), Peter Scherrer, a déclaré :
Des syndicats belges et internationaux ont réclamé la libération immédiate de l’ancien président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva. Dans une lettre remise à l’ambassadeur du Brésil à Bruxelles, la CSC, la FGTB, la CSI et la Confédération européenne des syndicats (CES) ont déclaré que l’incarcération arbitraire de Lula représente une menace pour la démocratie.
La Confédération européenne des syndicats (CES) exhorte la Commission européenne à inclure dans son paquet Droit européen des sociétés à venir des mesures contraignantes visant à protéger les travailleurs et à mettre fin au tourisme fiscal qui permet aux entreprises en Europe de déplacer leur siège dans un autre État membre où elles paieront moins d’impôts et de moindres salaires indépendamment du lieu où elles exercent leur véritable activité économique.
Commentant les propositions de la Commission européenne sur la protection des lanceurs d’alerte, Esther Lynch, Secrétaire confédérale de la Confédération européenne des syndicats (CES), a déclaré :
De nouveaux chiffres établis par l’Institut syndical européen (ETUI) et la Confédération européenne des syndicats (CES) révèlent que, au cours des 16 dernières années, les augmentations salariales auraient été QUATRE FOIS plus élevées dans l’Union européenne si elles avaient été alignées sur celles de la productivité.
C’est une théorie économique standard qui veut que les augmentations salariales suivent les augmentations de productivité. Pourtant, en Europe, la productivité a progressé bien plus que les salaires.
Selon des informations relayées par les médias, la Commission européenne recommandera aujourd’hui que l’Albanie et la Macédoine entament des négociations en vue de leur adhésion à l’UE. Elle devrait en revanche se montrer critique à l’égard de la Turquie pour son manque de progrès en matière de droits fondamentaux, qu’il s’agisse des droits de l’homme, de justice ou de liberté d’expression.
La Confédération européenne des syndicats (CES) :
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Nous venons de publier la newsletter de la CES de mars 2018.
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Bonne lecture
La Confédération européenne des syndicats (CES) a réagi positivement à la proposition faite aujourd’hui par la Commission européenne d’imposer une taxe sur les revenus de minimum 3% aux grandes entreprises numériques telles que les GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon) et appelle l’UE et tous les États membres à s’assurer que la « valeur numérique » est taxée là où elle est créée.
La Confédération européenne des syndicats (CES) exhorte les eurodéputés et les gouvernements de l’UE à soutenir le compromis relatif à la directive sur le détachement des travailleurs auquel le Parlement européen, la Commission et le Conseil sont parvenus la nuit dernière au terme de négociations en trilogue.
Cher(e)s lecteur(trice)s,
La CES est heureuse de vous proposer la nouvelle édition du bulletin d’information « Workers’ Voice – National Updates » avec une sélection d’innovations et succès syndicaux récents tant au niveau national que sectoriel. Ce bulletin est publié en ligne quatre fois par an.
Les travailleurs de 9 pays de l’Union européenne ont gagné moins en 2017 qu’en 2010 ! Ces pays sont l’Italie, le Royaume-Uni, l’Espagne, la Belgique, la Grèce, le Portugal, la Finlande, la Croatie et Chypre.
Dans 6 de ces pays – Italie, Royaume-Uni, Espagne, Belgique, Grèce et Finlande – les travailleurs ont également gagné moins en 2017 qu’en 2016.
L’UE et le gouvernement britannique devraient adopter la proposition du Parlement européen sur les futures relations UE-Royaume-Uni basées sur des « règles du jeu équitables », y compris concernant les « droits sociaux et des travailleurs », estime la Confédération européenne des syndicats (CES).
Dans une résolution votée aujourd’hui, le Parlement européen explique que l’adhésion au marché intérieur et à l’union douanière est la seule solution pour garantir « la poursuite d’échanges commerciaux sans heurts et préserver pleinement les avantages de nos relations économiques ».