Bruxelles, 09/02/05
Dans sa communication sur l'agenda social, le Commissaire Spidla a réussi à faire en sorte que la politique sociale ne soit pas reléguée au second plan et reste une priorité d'action au niveau européen. Cette position n'était pas évidente si l'on se souvient des déclarations faites la semaine dernière sur la révision de la stratégie de Lisbonne.
Le secrétaire général de la CES, John Monks, a déclaré : «Cet agenda est positif dans la mesure où il met de nouveau à l'ordre du jour la gestion des restructurations et la promotion des comités d'entreprise européens en tant qu'instruments pour affronter la globalisation. Cet agenda social développe également des mesures auxquelles nous sommes attachés comme l'égalité des genres, l'anti-discrimination, la dimension intergénérationnelle et en particulier l'Initiative européenne en faveur de la Jeunesse.»