Bruxelles, 03/11/2011
« La diminution d’aujourd’hui ne peut être que le début d’un nouvel assouplissement monétaire. Elle ne compense pas entièrement les mauvaises décisions prises au printemps que nous avions critiquées », a poursuivi Mme Ségol, soulignant le retard de l’impact de la politique monétaire sur la demande d’investissement. « L’incertitude quant aux perspectives de croissance et d’emploi doit être traitée comme LA priorité. L’Europe ne peut tomber dans une récession à double creux ».