Bruxelles, 26/06/2012
En Colombie, des dirigeants et activistes syndicaux continuent d’être assassinés, menacés et intimidés tandis que les auteurs des faits jouissent d’une impunité quasi totale. En réalité, les niveaux de violence effroyables réduisent à néant toute promesse de libre exercice des droits fondamentaux du travail en ce compris la liberté d’association. Des résultats positifs tangibles permettant aux syndicats de se livrer à leurs activités normales sont nécessaires pour que l’UE puisse entretenir des relations commerciales conformément à ses obligations en matière de droits de l’homme découlant des traités.
26.06.2012
Communiqué de presse