La Confédération européenne des syndicats (CES) s’opposera à une possible double réduction des dépenses du fonds social européen (FSE) dans le budget 2021-2027 de l’UE.
Les propositions de la Commission européenne relatives au FSE publiées aujourd’hui, celles portant sur sa politique de cohésion publiées hier ainsi que le budget européen 2021-2027 global prévoient notamment :
Une réduction générale des dépenses consacrées à la politique de cohésion et une réduction du financement du FSE estimées entre 3 et 10% ;
Suite au résultat du vote d’aujourd’hui au Parlement européen, Liina Carr, Secrétaire confédérale de la Confédération européenne des syndicats (CES), a salué cette victoire en faveur des travailleurs détachés d’Europe et a déclaré :
« Justice est enfin rendue pour les travailleurs détachés. »
« Avec ce vote positif, la CES est très heureuse de voir se confirmer la perspective d’une égalité salariale pour ces travailleurs. »
La Confédération européenne des syndicats (CES) a écrit aux eurodéputés pour les presser de voter en faveur de la révision de la directive relative au détachement des travailleurs.
Le vote en séance plénière sur l’accord de mars dernier conclu en trilogue entre la Commission, le Conseil et le Parlement doit avoir lieu le mardi 29 mai. Il s’agit d’un vote par oui ou par non sans possibilité d’amendements. Le texte a déjà été approuvé par le Conseil.
Réagissant à la publication par la Commission européenne du paquet Semestre européen du printemps 2018 – et de ses recommandations par pays, Katja Lehto-Komulainen, Secrétaire générale adjointe de la Confédération européenne des syndicats (CES) a fait la déclaration suivante :
« La Confédération européenne des syndicats condamne les tirs meurtriers dont ont été victimes des manifestants palestiniens, parmi lesquels des enfants, ainsi que le recours répété à un usage excessif et disproportionné de la force de la part de l’armée israélienne », a déclaré Luca Visentini, Secrétaire général de la CES. « Ces tueries doivent cesser. »
Quelque chose s'est mal passé dans l'Union européenne. Quatre exemples témoignent de ce désordre.
Comment justifier que des centaines de milliers de sociétés boîtes aux lettres ont été autorisées à se
développer, bien que le seul but de ces entreprises fantômes soit d'échapper aux taxes, aux lois du travail et
aux réglementations ? Comment expliquer que des décisions de la Cour européenne de justice ont autorisé la
restriction des droits fondamentaux des salariés pour soutenir des pratiques d'entreprises dont l'objectif même
La Confédération européenne des syndicats (CES) annonce la publication ce 15 mai d’un guide pour une transition juste vers une économie sobre en carbone.
Ce document de 48 pages intitulé « Impliquer les syndicats dans l’action pour le climat pour construire une transition juste » contient :
Suite à la publication par la Commission européenne de ses prévisions économiques pour le printemps 2018 annonçant une « forte croissance », « au plus haut niveau depuis 10 ans », et des « perspectives optimistes », Katja Lehto-Komulainen, Secrétaire générale adjointe de la Confédération européenne des syndicats (CES), a fait la déclaration suivante :
Commentant les propositions de la Commission européenne relatives au cadre financier pluriannuel (CFP), le Secrétaire confédéral de la Confédération européenne des syndicats (CES), Thiébaut Weber, a déclaré :
« Nous ne pouvons accepter la proposition visant à réduire de 7% le fonds de cohésion – et donc probablement aussi le fonds social européen (FSE). C’est un signal consternant que l’on envoie ainsi aux citoyens alors même que l’encre de la proclamation du Socle européen des droits sociaux (SEDS) n’est pas encore sèche. »
Cher(e)s lecteur(trice)s,
Nous venons de publier la newsletter de la CES d'avril 2018.
Pour lire cette publication, il suffit de cliquer ici.
Bonne lecture
La proposition publiée aujourd’hui par la Commission européenne qui vise à promouvoir l’équité et la transparence à l’égard des utilisateurs des sites de marché en ligne est une étape nécessaire mais elle ignore complètement l’importance de protéger les travailleurs dont les moyens de subsistance dépendent des plateformes numériques.
La Confédération européenne des syndicats (CES) a lancé une alerte d’urgence sans précédent identifiant les pays et les situations dans lesquels la possibilité pour les travailleurs européens d’obtenir des salaires décents est menacée.
« Il existe au cœur du projet européen un contrat social qui offre aux travailleurs l’occasion de bénéficier de salaires et de conditions de travail décents », explique Luca Visentini, Secrétaire général de la CES, « mais la base même sur laquelle repose ce contrat social a un besoin urgent d’entretien et de rénovation. »
Réagissant aux propositions de nouvelles règles en droit des sociétés* publiées aujourd’hui par la Commission européenne, le Secrétaire général adjoint de la Confédération européenne des syndicats (CES), Peter Scherrer, a déclaré :