La Confédération européenne des syndicats (CES) note que la Commission européenne n’a rejeté aucun des plans budgétaires nationaux pour l’année prochaine et considère cela comme un signe bien nécessaire d’un assouplissement de l’austérité.
La Confédération européenne des syndicats (CES), qui représente 90 organisations syndicales dans 40 pays, dit être de tout cœur avec les Parisiens en ces moments horribles et effrayants.
Luca Visentini, Secrétaire général de la CES, a déclaré : « Nos pensées vont aux familles et aux êtres chers des victimes, aux travailleurs qui doivent intervenir suite à ces attaques meurtrières ainsi qu’à tous les citoyens de Paris choqués, endeuillés et vivant dans la crainte. Nous sommes également solidaires des syndicats français et de tous leurs membres. »
La libre circulation des travailleurs tout comme le salaire égal pour un travail égal sont des droits fondamentaux et des principes européens non négociables a déclaré la Confédération européenne des syndicats (CES).
Les 11 et 12 novembre, les chefs de gouvernement de l’UE et d’Afrique se rencontreront à Valletta afin d’examiner la crise des réfugiés et de la migration.
Commentant les prévisions économiques de la Commission européenne, le Secrétaire général de la CES, Luca Visentini, a déclaré : « Faible croissance et chômage élevé sont de sombres perspectives pour les citoyens. »
« La Commission européenne doit encourager beaucoup plus activement les augmentations de salaire afin de stimuler la demande, et encourager les investissements public et privés. Je suis étonné que le Commissaire Moscovici n’ait même pas mentionné le plan d’investissement Juncker - il n’en attend manifestement pas un impact important. »
La CES accueille avec satisfaction les efforts déployés par la Commission afin de sensibiliser l’opinion aux écarts de rémunération entre les hommes et les femmes et à leurs conséquences omniprésentes.
« En outre », a déclaré Luca Visentini, Secrétaire général de la CES, « nous déplorons l’absence de nouvelle mesure législative visant à réviser la directive sur l’égalité des rémunérations. Sans autre mesure législative, la discrimination à l’égard des femmes continuera, tant au plan des rémunérations qu’au travail.
Commentant la communication de la Commission sur sa « Stratégie pour le marché unique », Liina Carr, Secrétaire confédérale de la Confédération européenne des syndicats (CES), a déclaré :
« La Commission européenne a raison de vouloir créer des emplois et de favoriser une croissance socialement équitable à travers le marché unique. Il reste à voir si cette stratégie y parviendra. »
Réagissant au programme de travail de la Commission européenne pour 2016, la Confédération européenne des syndicats :
A salué les engagements repris dans la communication relative au programme de travail portant sur :
La Commission européenne a publié aujourd’hui une recommandation pour la création de « conseils nationaux de la compétitivité » au sein de la zone euro.
La Confédération européenne des syndicats (CES) :
s’interroge sur la nécessité, et l’objectif, des « conseils de la compétitivité » ;
note que la recommandation précise que ces conseils « ne devraient pas affecter le droit des travailleurs et des employeurs… de négocier et de conclure des conventions collectives » ;
Gouvernements, employeurs et syndicats doivent collaborer pour permettre aux entreprises et aux travailleurs européens de saisir toutes les opportunités offertes par la numérisation et pour éviter les pertes d’emplois et la dégradation des conditions de travail, prévient la Confédération européenne des syndicats (CES).
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Nous venons de publier la newsletter de la CES d'octobre 2015.
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Bonne lecture
La CES est consternée d’apprendre que près d’un Européen sur 4 soit toujours exposé au risque de pauvreté, selon les statistiques publiées aujourd’hui par Eurostat.
Alors que la stratégie 2020 de l’UE vise à réduire le nombre de personnes menacées par la pauvreté de 20 millions d’ici 2020, ce nombre a augmenté de 5 millions depuis 2008, et en 2014 il s’élevait à 122 millions, soit 24,4% de la population.