Les États membres de l'UE ont l'"obligation morale" d'appliquer immédiatement l'interdiction des biens produits par le travail forcé, qui entre en vigueur aujourd'hui. Bien que les États membres aient jusqu'à trois ans pour la mettre en œuvre, l'Organisation internationale du travail montre qu'il n'y a pas de temps à perdre : - 28 millions de personnes, dont 3,3 millions d'enfants, sont soumises au travail forcé dans le monde. - 236 milliards de dollars américains, c'est le montant des profits annuels générés par le travail forcé dans le monde.
Les syndicats sont le moteur de la justice sociale. Cependant, pour faire face aux crises qui se chevauchent et aux transformations économiques structurelles à long terme, d'autres acteurs devront également coordonner leurs efforts.
Soutien de la CES à la Coalition mondiale pour la justice sociale de l’OIT
Adoptée lors de la réunion du Comité exécutif des 26-27 mars 2024
L'Europe est confrontée à une situation d'urgence en matière de justice sociale. La CES est à l'avant-garde de la lutte pour un accord équitable en faveur des travailleurs, de leurs familles et de leurs communautés dans toute l'Europe.
La confédération espagnole CCOO a publié une brochure d’information syndicale pour marquer le 100ème anniversaire de l’Organisation internationale du travail (OIT) en 2019.
Cette publication, une des nombreuses initiatives célébrant le centenaire de l’OIT, a été lancée à Madrid le 5 juin par le Secrétaire général de la CCOO, Unai Sordo, lors de la réunion du Conseil économique et social d’Espagne.
La Confédération syndicale internationale (CSI) et la Confédération européenne des syndicats (CES) appellent la Commission européenne à se pencher sur les inquiétudes suscitées par les violations de la liberté d’association au Kazakhstan au cours de la réunion du Conseil de coopération UE-Kazakhstan qui se tient le 26 février.
La Confédération européenne des syndicats (CES) se joint à son homologue mondial, la Confédération syndicale internationale (CSI), pour condamner la campagne politique menée contre la Confédération syndicale géorgienne (GTUC) et son Président, Irakli Petriashvili, et orchestrée par des forces politiques proches du gouvernement géorgien.
La CES travaille en partenariat avec la GTUC dans le cadre du Conseil régional paneuropéen (CRPE) de la CSI et de l’accord d’association entre l’Union européenne et la-Géorgie.